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Niger : Sigma Corporation Afrique renforce son écosystème avec l’acquisition de Fitila Factory

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Lomé, le 23 janvier 2025Après le Burkina Faso, l’agence de communication 360°, Sigma Corporation Afrique renforce sa position au Niger. Ceci à travers une opération de fusion-acquisition de Fitila Factory, une agence de droit nigérien.

Sigma Corporation Afrique, agence de communication 360° de référence sur le continent, annonce fièrement l’acquisition de Fitila Factory au Niger, une entreprise reconnue pour son expertise et son ancrage local. La convention de fusion officiellement signée ce 23 janvier marque une étape décisive dans la stratégie d’expansion de cette agence panafricaine de communication.

« Cette fusion stratégique à l’entame de cette nouvelle année n’est que l’amorce de la concrétisation de notre orientation stratégique pour 2025 », déclare Agbeko Massemé, Associé et membre du Comité Directeur de Sigma Corporation. « En acquérant Fitila Factory, nous consolidons notre positionnement sur le marché africain tout en renforçant notre engagement d’innovation et d’excellence pour accompagner la croissance des entreprises et des institutions au Niger. Grâce à notre expertise combinée, nous visons à devenir le partenaire incontournable en matière de communication sur le marché dynamique nigérien. », ajoute-t-il.

Par cette expansion, Sigma Corporation ambitionne de fournir des solutions de communication modernes, adaptées aux réalités locales en réponse aux besoins croissants en matière de communication stratégique, créative, digitale et médiatique au Niger.

« Nous sommes fiers de nous associer à Sigma Corporation Afrique. Cette fusion ouvre un nouveau chapitre dans le domaine de la communication au Niger. Nous sommes convaincus qu’elle permettra de satisfaire les attentes croissantes des acteurs locaux en matière de prestations de qualité et surtout à la pointe », précise l’Associé Gérant de Fitilia Factory.

Cette alliance stratégique entre Sigma Corporation Afrique et Fitila Factory représente une opportunité unique pour les entreprises, institutions et personnalités publiques du Niger de bénéficier de services de communication alliant créativité, expertise locale et technologies avancées.

À propos de Sigma Corporation Afrique

Sigma Corporation Afrique est une agence de conseil et stratégie en communication et marketing, dynamique et créative. Fondée par des professionnels expérimentés du secteur de la communication et du marketing politique, elle offre des solutions allant de la réflexion stratégique à sa matérialisation ; conseille et accompagne les gouvernements, les institutions, les marques et les personnalités publiques pour une communication 360° efficiente.

Avec son siège à Lomé au Togo et des bureaux au Burkina Faso, au Bénin et à Dubaï, Sigma Corporation positionne les marques, les institutions et les personnalités politiques africains au cœur des enjeux aussi bien du continent qu’international.

L’ouverture de l’Afrique au numérique couplée des opportunités des marchés de plus en plus grandissant a permis à Sigma Corporation de s’émanciper avec de nouveaux associés. Elle s’ouvre, par la même occasion, à un champ plus large avec deux domaines d’expertise. D’une part, elle s’impose comme une première agence de veille automatisée dans la sous-région, et d’autre part, comme une agence de communication qui offre des solutions digitales aux marques, entreprises et personnalités publiques.

À propos de Fitila Factory

Fitila Factory est une entreprise de production de contenu qui accompagne les médias dans leurs transformations digitales au Sahel. Elle forme les jeunes sahéliens dans les métiers de la production de contenus digitaux.

Depuis 2017, Fitila Factory a créé et développé deux médias au Niger et au Mali. Sahel24, Zomoa et Wa6k, produisent des contenus numériques de qualité, en français et en langues locales. Ils contribuent à promouvoir la culture et l’information sahélienne.

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Économie : Le Ghana accélère la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine

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A l’issue du Business Roadshow IATF2025 tenu au Ghana, qui a réuni des représentants du gouvernement, des acteurs économiques, notamment des entreprises et des investisseurs, ainsi que des dirigeants de la Banque africaine d’import-export (Afreximbank), le pays a réaffirmé son engagement à accélérer la mise en œuvre de la ZLECA.

Le Secrétaire général du Secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA), S.E. Wamkele Mene (cinquième à gauche) pose avec l’économiste en chef du groupe Afreximbank et directeur général de la recherche, le Dr Yemi Kale (cinquième à droite) et d’autres dignitaires lors du Business Roadshow IATF2025 du Ghana à Accra.

Ci-joint le communiqué de presse de Afreximbank

Accra, 16 juin 2025 Le Ghana accélère la mise en œuvre de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA) afin de créer de nouvelles opportunités pour les entreprises ghanéennes à travers l’Afrique en allant au-delà du commerce basé sur les matières premières vers la création de valeur ajoutée pour ses exportations traditionnelles telles que l’or, le pétrole et le cacao.

S’exprimant lors du Business Roadshow 2025 de la Foire commerciale intra-africaine du Ghana (IATF), la ministre ghanéenne du Commerce, de l’Agroalimentaire et de l’Industrie, l’honorable Elizabeth Ofosu-Adjare, a souligné l’engagement du gouvernement à créer un environnement propice à la prospérité des entreprises dans le cadre de la ZLECA en améliorant les infrastructures commerciales, le financement et l’accès au marché.

« Dans le cadre de notre programme d’expansion du marché, le Bureau national de coordination de la ZLECA apporte un soutien à plus de 2 000 MPME au Ghana. Ce soutien comprend des actions de sensibilisation, des formations à la préparation au marché, des formations sur les règles d’origine de la ZLECA, le financement du commerce et des initiatives d’accès au marché. Le Ghana a également mené des expéditions commerciales ciblées en Afrique de l’Est, emmenant des entreprises ghanéennes au Kenya, en Tanzanie et au Rwanda pour explorer des opportunités en temps réel et négocier des contrats d’approvisionnement », a déclaré la ministre dans un discours lu en son nom par le coordinateur national par intérim du Bureau national de coordination de la ZLECA, Benjamin Kwaku Asiam.

Le Business Roadshow IATF2025 du Ghana a réuni des représentants du gouvernement, des acteurs économiques, notamment des entreprises et des investisseurs, ainsi que des dirigeants de la Banque africaine d’import-export (Afreximbank). L’événement était axé sur la promotion du commerce intra-africain, sous le thème : Exploiter les chaînes de valeur régionales et continentales : accélérer l’industrialisation et la compétitivité mondiale de l’Afrique grâce à la ZLECA.

Le Business Roadshow est l’un des cinq événements prévus à Accra, Nairobi, Johannesburg, Lagos et Alger en prévision de la quatrième édition de la Foire commerciale intra-africaine biennale 2025 (IATF2025), prévue à Alger, en Algérie, du 4 au 10 septembre 2025. L’IATF est le premier événement commercial et d’investissement en Afrique, organisé par Afreximbank, en collaboration avec la Commission de l’Union africaine et le Secrétariat de la ZLECA, et offre une plate-forme aux entreprises pour présenter leurs produits et échanger des informations commerciales et d’investissement au sein du marché unique du continent.

Dans son discours d’ouverture, le Secrétaire général du Secrétariat de la ZLECA, S.E. Wamkele Mene, a noté que l’IATF offre une plate-forme inégalée pour l’échange d’informations sur le commerce et l’investissement ; et constitue un marché d’idées, d’opportunités et de partenariats.

« Alors que nous travaillons à accroître le commerce intra-africain, à bâtir des chaînes de valeur régionale et à accélérer l’industrialisation, l’IATF constitue une plateforme essentielle pour connecter les entreprises, les investisseurs, les gouvernements et les innovateurs africains. Elle joue un rôle catalyseur pour concrétiser les promesses de la ZLECA : signature d’accords commerciaux, mobilisation d’investissements et création d’emplois. En créant un vaste marché intégré, la ZLECA encourage les pays à se spécialiser et à valoriser leurs produits, attirant ainsi les investissements et créant des emplois », a déclaré S.E. Mene, ajoutant que cela favorise la diversification économique, la réduction de la pauvreté et la vision de l’Afrique pour un développement durable et inclusif.

Le Dr Yemi Kale, économiste en chef du groupe Afreximbank et directeur général de la recherche, a décrit l’IATF comme le marché commercial de la ZLECA, qui donne vie aux efforts de l’Afrique pour commercer davantage avec elle-même, non seulement en matières premières, mais aussi en biens à valeur ajoutée, en services et en innovations.

« L’un des obstacles persistants au commerce intra-africain n’est pas seulement les droits de douane ou la logistique, mais aussi l’accès à des informations commerciales précises, opportunes et exploitables. Le commerce ne peut prospérer sans information », a déclaré le Dr Kale, ajoutant que l’IATF2025 offre une plateforme pour y remédier. Il a invité les entreprises et les agences gouvernementales ghanéennes à participer à l’IATF2025, où plus de 2 000 exposants d’Afrique et d’ailleurs présenteront leurs produits à plus de 35 000 visiteurs et acheteurs venus de plus de 140 pays, avec des accords commerciaux et d’investissement estimés à plus de 44 milliards de dollars américains ».

Au total, l’IATF a attiré plus de 4 500 exposants, plus de 70 000 visiteurs et généré plus de 100 milliards de dollars de transactions. La dernière édition, qui s’est tenue au Caire, a attiré près de 2 000 exposants venus de 65 pays et généré 43,7 milliards de dollars de transactions commerciales et d’investissement.

Le prochain salon IATF2025 sera organisé par le gouvernement de la République algérienne démocratique et populaire. S’exprimant lors du Business Roadshow, l’ambassadeur d’Algérie au Ghana, S.E. Mourad Louhaidia, a souhaité la bienvenue aux visiteurs et aux exposants à Alger, réaffirmant l’engagement de son gouvernement à faciliter le succès du salon IATF2025 en mobilisant les infrastructures de transport et d’accueil et en facilitant l’entrée de tous les participants dans le pays.

« L’ambassade d’Algérie accélérera le traitement des visas pour tous les participants ghanéens. Nous avons mis en place une équipe dédiée à l’ambassade pour traiter toutes les demandes d’information et de visa pour participer à l’IATF 2025 », a ajouté S.E. Louhaidia.

L’IATF2025 proposera une exposition commerciale, le programme Creative Africa Nexus (CANEX) mettant en avant les industries culturelles, un Forum sur le commerce et l’investissement de quatre jours et le Salon de l’automobile africain. Des journées spéciales mettront en lumière les pays, les entités des secteurs public et privé, le tourisme, les attractions culturelles et la Journée mondiale de l’Afrique célébrant les liens avec la diaspora africaine.

Les activités complémentaires comprennent le jumelage interentreprises et interentreprises-gouvernement, le programme Jeunes start-up de l’UA, le Pôle africain de recherche et d’innovation et le Réseau des gouvernements sous-souverains africains (AfSNET) pour promouvoir les échanges commerciaux et culturels locaux. La plateforme virtuelle de l’IATF est également en ligne, permettant aux exposants et aux visiteurs de se connecter tout au long de l’année.

Gabriel Edgal, ambassadeur ghanéen de l’IATF et président d’Oakwood Green Africa, a déclaré : « Bien avant que les frontières ne soient tracées, l’Afrique prospérait grâce à une économie connectée. Le commerce était un mode de vie. La valeur était créée localement. Le progrès passait par les relations et les échanges. Partout dans le monde, nous constatons une montée du protectionnisme. Les partenaires d’aide traditionnels se replient de plus en plus sur eux-mêmes. La tendance économique mondiale est en train de changer, et chacun se concentre désormais sur lui-même. Je crois que c’est un signal d’alarme : nous devons désormais être plus réfléchis dans nos échanges commerciaux, créer une prospérité interconnectée, commercer entre nous, construire ensemble et croître pour nous-mêmes. Il est temps d’agir. »

Le Ghana a été reconnu comme un exemple de premier plan dans la mise en œuvre de la ZLECA, le gouvernement facilitant activement la participation du secteur privé par le biais du Bureau national de coordination et d’initiatives comme l’Initiative commerciale guidée, qui a permis aux entreprises ghanéennes de commercer avec succès avec les pays africains voisins.

Pour participer à l’IATF2025, veuillez visiter www.intrafricantradefair.com .

À propos de la Foire commerciale intra-africaine

Organisée par la Banque africaine d’import-export (Afreximbank), en collaboration avec la Commission de l’Union africaine (CUA) et le Secrétariat de la Zone de libre-échange continentale africaine (ZLECA), la Foire commerciale intra-africaine (IATF) vise à offrir une plateforme unique pour faciliter l’échange d’informations sur le commerce et l’investissement afin de soutenir le développement du commerce et des investissements intra-africains, notamment dans le cadre de la mise en œuvre de l’Accord de libre-échange continental africain (ZLECA). L’IATF rassemble des acteurs continentaux et mondiaux pour présenter et exposer leurs produits et services et explorer les opportunités commerciales et d’investissement sur le continent. Elle offre également une plateforme de partage d’informations sur le commerce, l’investissement et les marchés avec les parties prenantes et permet aux participants de discuter et d’identifier des solutions aux défis auxquels sont confrontés le commerce et l’investissement intra-africains. Outre les participants africains, la Foire commerciale est également ouverte aux entreprises et investisseurs de pays non africains souhaitant s’implanter en Afrique et soutenir la transformation du continent par l’industrialisation et le développement des exportations.

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Économie : Les sociétés KAO CIMENT et DANGOTE CEMENT NIGER SA perdent leurs avantages fiscaux

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Le gouvernement du Niger a décidé en conseil des ministres du 16 Mai 2025 du retrait des avantages du régime Conventionnel du Code des Investissements accordé aux sociétés KAO CIMENT SAS et DANGOTE CEMENT NIGER SA. Cette décision intervient 7 ans après l’obtention par le richissime homme d’affaire nigérian Aliko DANGOTE des agréments au régime conventionnel du code des investissements en République du Niger.

Selon le communiqué du gouvernement : ’’Dans le cadre de la promotion des investissements, les sociétés DANGOTE CEMENT NIGER SA et KAO CIMENT SAS ont été respectivement agréées en 2018 et 2020 au titre du régime conventionnel du code des investissements pour la mise en œuvre de projets industriels de production de ciment dans la région de Tahoua’’.  De leur côté, un investissement est aussi attendu : ’En contrepartie, des avantages fiscaux et douaniers liés à ce régime, ces sociétés s’étaient engagées à investir plus de 159 milliards pour l’une et plus de 179 milliards de FCFA pour l’autre, hors taxe et hors fonds de roulement, à créer plus de 300 emplois permanents pour KAO CIMENT SAS et plus 750 pour DANGOTE CEMENT NIGER SA’’. Mieux,ces sociétés se sont engagées également à transmettre régulièrement des rapports semestriels d’exécution de leurs programmes agréés conformément aux dispositions de la loi du 16 avril 2014, portant code des investissements en République du Niger.

Le communiqué clarifie qu’en dépit de l’octroi de ces privilèges depuis 2018 soit plus de sept (7) ans pour la première et depuis 2020 soit plus de cinq (5) ans pour la seconde, ’’ces deux (2) sociétés n’ont pas respecté leurs engagements en matière d’investissement et de création d’emplois, malgré les mises en demeure qui leur ont été adressées et le délai règlementaire accordé pour présenter un plan de correction’’.

Compte tenu de la non tenue des engagements ’’au regard de la défaillance avérée de ces deux (2) sociétés, le Gouvernement a décidé de retirer l’agrément aux avantages conventionnel du code des investissements tout en demandant auprès desdites sociétés le remboursement de tous les avantages fiscaux et douaniers indûment perçus par ces sociétés’’.

Rappelons que le 15 octobre 2018, le groupe du milliardaire nigérian Aliko Dangote avait lancé les travaux de construction d’une cimenterie pour un coût de 180 milliards de francs CFA.

Cette société « s’engage à investir » dans les trois prochaines années 2 millions de dollars (1,7 million d’euros) sur chacun des permis dans le cadre des travaux de prospection. Elle a également promis de financer des infrastructures collectives « à hauteur de 50 000 dollars par an » pour chacune des zones abritant les permis, selon un communiqué gouvernemental.

En son temps, cette décision sous forme de mesure incitative a été saluée puisqu’elle donnait la possibilité à cette société de développer ses activités au Niger, d’investir et créer des emplois.

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