Finance
Communiqué du FMI relatif à un accord conclu avec le Niger !
Le FMI et le Niger concluent un accord au niveau des services sur la septième revue du programme au titre de la facilité élargie de crédit et sur la troisième revue du programme au titre de la facilité pour la résilience et la durabilité.
Les communiqués de presse de fin de mission contiennent des déclarations des services du FMI qui rendent compte de leurs conclusions préliminaires après leur visite dans un pays. Les opinions exprimées dans ces déclarations sont celles des services du FMI et ne sont pas nécessairement celles de son conseil d’administration. À partir des conclusions préliminaires de cette mission, les services du FMI établiront un rapport qui, sous réserve de l’approbation de la direction, sera présenté au conseil d’administration pour examen et décision.
Les services du FMI et les autorités nigériennes ont conclu un accord au niveau des services sur la septième revue du programme économique appuyé par la facilité élargie de crédit (FEC), ainsi que sur la troisième revue du programme appuyé par la facilité pour la résilience et la durabilité (FRD).
La croissance économique devrait rester robuste, à 6,6 % en 2025, en dépit des nombreux défis. Néanmoins, les risques baissiers sont importants, en particulier ceux liés à un resserrement des conditions de financement, à une réduction de l’aide au développement et à la situation sécuritaire.
Les autorités nigériennes restent déterminées à mettre en œuvre rapidement les principales réformes structurelles prévues par le programme, notamment l’adoption d’un nouveau code général des impôts et l’application de la stratégie de gestion des recettes pétrolières.
Washington. Du 5 au 16 mai 2025, une équipe des services du Fonds monétaire international (FMI), dirigée par M. Antonio David, a tenu des réunions portant sur la septième revue de l’accord appuyé par la facilité élargie de crédit (FEC) en faveur du Niger, ainsi que sur la troisième revue du programme appuyé par la facilité pour la résilience et la durabilité (FRD).
À l’issue de la mission, M. David a fait la déclaration suivante :
« Les autorités nigériennes et les services du FMI ont conclu un accord au niveau des services sur la septième revue du programme économique appuyé par la facilité élargie de crédit et sur la troisième revue du programme appuyé par la facilité pour la résilience et la durabilité. Cet accord au niveau des services doit recueillir l’approbation de la direction et du conseil d’administration du FMI. La réunion correspondante du conseil d’administration devrait avoir lieu en juillet 2025. L’achèvement de la revue de l’accord au titre de la FEC permettrait un décaissement à hauteur de 13,2 millions de DTS (environ 17,8 millions de dollars, soit 10 % de la quote-part du Niger) pour contribuer à couvrir les besoins de financement extérieur du pays. L’achèvement de la revue de l’accord au titre de la FRD permettrait de décaisser 17,1 millions de DTS (environ 23,1 millions de dollars, soit 13 % de la quote-part du Niger).
« La croissance économique devrait rester robuste à 6,6 % en 2025, en dépit des nombreux défis. L’inflation moyenne devrait reculer à 4,2 %, en raison d’une campagne agricole favorable. Cela étant, des risques à la baisse entourent le scénario de référence. La situation sécuritaire pourrait affecter l’activité économique, tandis que la marge de manœuvre budgétaire pourrait se restreindre du fait d’un durcissement des conditions de financement et d’une réduction de l’aide au développement.
« Tout en préservant les dépenses sociales, les efforts d’assainissement budgétaire se poursuivront en 2025. L’ajustement prévu de 1,3 point de pourcentage du PIB pour atteindre l’objectif de déficit budgétaire de 3 % du PIB reposera sur une meilleure mobilisation des recettes, tandis que la croissance des dépenses totales resterait maîtrisée. Compte tenu des risques et du durcissement des conditions de financement, les autorités nigériennes continueront de mener une politique d’endettement prudente, en privilégiant les financements concessionnels et les dons.
« L’accord au titre de la facilité élargie de crédit vise à renforcer la stabilité macroéconomique et à jeter les bases d’une croissance résiliente, inclusive et portée par le secteur privé. Les résultats obtenus dans le cadre du programme ont été globalement satisfaisants par rapport aux objectifs fixés pour fin décembre 2024 et fin mars 2025. Les autorités ont également réalisé des progrès considérables dans l’apurement des arriérés au titre du service de la dette.
« Les autorités nigériennes restent déterminées à mettre en œuvre rapidement les principales réformes structurelles prévues par le programme, notamment l’adoption d’un nouveau code général des impôts et l’application de la stratégie de gestion des recettes pétrolières. Les services du FMI saluent le rétablissement de la Cour des comptes et espèrent un redémarrage complet de ses activités. Ces efforts de réforme sont essentiels pour atteindre les objectifs clés du programme, à savoir améliorer la mobilisation des recettes et la qualité et l’efficience des dépenses publiques, promouvoir le développement du secteur privé et renforcer les cadres de gouvernance et de transparence.
« Le financement au titre de la FRD vient appuyer l’avancement des réformes et les investissements visant à remédier aux difficultés et aux risques de plus en plus prononcés que pose le changement climatique, ce qui permettra de renforcer la résilience et de préserver les moyens de subsistance de la population. Dans le cadre de cette revue, les autorités ont bien progressé dans la mise en œuvre des mesures visant à renforcer la planification et la budgétisation des dépenses liées au climat, et à améliorer la prise en compte des questions liées au climat dans la gestion des investissements publics.
« Les membres de l’équipe de la mission ont rencontré Son Excellence M. Ali Mahamane Lamine Zeine, Premier Ministre et Ministre de l’Économie et des Finances. Ils ont également organisé des séances de travail avec le ministre délégué chargé du budget, M. Mamane Sidi, le directeur national de la BCEAO pour le Niger, M. Maman Laouali Abdou Rafa, ainsi que d’autres hauts fonctionnaires de l’État, des représentants du secteur privé et des partenaires pour le développement.
« L’équipe du FMI tient à remercier les autorités nigériennes pour leur coopération et pour les échanges constructifs et fructueux qui ont eu lieu pendant cette mission. »
RELATIONS AVEC LES MÉDIAS
ATTACHÉ DE PRESSE: Tatiana Mossot
Finance
Trois décennies au service de la résilience et de la transformation de l’Afrique

Lors des 32e Assemblées annuelles d’Afreximbank de cette année, un panel a dressé un bilan approfondi, s’interrogeant non seulement sur les acquis des trois dernières décennies, mais aussi sur les enseignements à en tirer. Intitulée « Trois décennies au service de la résilience et de la transformation de l’Afrique : que nous apprend l’expérience d’Afreximbank ? » , cette table ronde a réuni des voix issues de l’ensemble du paysage économique du continent. Parmi les intervenants figuraient Kee Chong Li, directeur de Value Partners Asia Hedge Funds et membre du conseil d’administration d’Afreximbank, le professeur Bart Nnaji, PDG de Geometric Power, Aliyu Ahmed, ancien secrétaire permanent du ministère fédéral des Finances du Nigéria, Rosa Whitaker, présidente-directrice générale du Whitaker Group ; et l’honorable Patrick Chinamasa, ancien ministre des Finances et du Développement économique du Zimbabwe. Chacun a présenté des réflexions pertinentes sur la manière dont Afreximbank est passée du statut d’institution de financement du commerce à celui de moteur essentiel de la résilience et de la transformation économiques de l’Afrique.
Depuis sa création, Afreximbank s’est distinguée non seulement par ses activités, mais aussi par son approche fondamentale. Comme l’a observé un intervenant, Afreximbank est « une institution des Africains, par les Africains, et adaptée au développement de l’Afrique ». Ce sentiment d’appartenance et cet alignement stratégique ont façonné son caractère institutionnel et son impact durable.
La résilience par la conviction
Au cœur des discussions se trouvait un principe qui transcende la finance traditionnelle : une conviction inébranlable dans le potentiel africain. Cette conviction s’est manifestée par une confiance dans les économies africaines, leur leadership et leurs solutions locales. L’ancien ministre des Finances du Zimbabwe, l’honorable Patrick Chinamasa, a fourni un exemple frappant de cette approche. Il a rappelé comment, pendant la période où le Zimbabwe était soumis aux sanctions internationales, Afreximbank avait apporté un soutien essentiel lorsque d’autres institutions s’étaient retirées. « Personne ne nous a donné notre chance, sauf Afreximbank », a-t-il noté, attribuant à l’intervention de la Banque le mérite d’avoir aidé le Zimbabwe à atteindre l’autosuffisance alimentaire et à relancer son processus d’industrialisation.
Ce schéma s’est répété sur tout le continent. Du Nigéria à l’île Maurice, les intervenants ont partagé leurs témoignages sur la rapidité avec laquelle la Banque a réagi à la crise, alors que d’autres se retiraient, établissant ainsi sa réputation de « premier intervenant » financier en Afrique.
L’indépendance financière comme stratégie principale
L’une des caractéristiques marquantes de la trajectoire d’Afreximbank a été sa quête délibérée de souveraineté financière. Plutôt que de s’appuyer sur les canaux conventionnels de mobilisation de capitaux, la Banque a systématiquement développé des alternatives pilotées par des Africains. Kee Chong Li, membre du conseil d’administration et expert financier senior, a illustré cette philosophie par une transaction spécifique. Lors de la levée de capitaux par le biais de certificats représentatifs d’actions étrangères, la Banque a contourné les banques d’investissement internationales comme JP Morgan ou Goldman Sachs. Elle a mobilisé des institutions et des investisseurs privés africains, coté à la Bourse de Maurice et fait appel à des services de garde locaux. « Toutes les institutions qui ont permis la levée de capitaux étaient purement africaines », a-t-il souligné. « Cela illustre ce que signifie concrètement la souveraineté. »
Cette approche s’est étendue à la gestion des risques. Face à la réticence des assureurs internationaux à financer des projets africains, Afreximbank a créé sa propre division d’assurance-crédit, composée de professionnels africains, soutenue par des réassureurs africains et spécifiquement conçue pour débloquer des capitaux en faveur des infrastructures et du développement commercial du continent.
Leadership : Transformer la vision en réalité
De nombreux intervenants ont souligné le leadership transformationnel du président d’Afreximbank, le professeur Benedict Oramah, qui a contribué à l’évolution de la Banque. Rosa Whitaker, présidente du Whitaker Group, a souligné cette dynamique, citant l’expert en gestion Jim Collins : « Le « qui » compte plus que le « quoi ». » Sous la direction du professeur Oramah, a-t-elle affirmé, la Banque a « catalysé un mouvement » qui intègre le financement du commerce, la technologie, l’engagement de la diaspora et les marchés de capitaux africains dans un moteur de croissance cohérent. Elle a qualifié cet effet d’« Africatalyst » : une force catalytique qui transforme les aspirations en progrès économiques mesurables.
Du financement du commerce à la transformation globale
Cette évolution a été illustrée par le témoignage du professeur Bart Nnaji. En tant que PDG de Geometric Power, il a décrit un projet énergétique intégré au Nigéria, jusque-là bloqué, abandonné par d’autres bailleurs de fonds. Après une due diligence rigoureuse, Afreximbank s’est engagée à relancer le projet. Aujourd’hui, il fournit une électricité fiable à plus de quatre millions de personnes et constitue le point d’ancrage d’une zone industrielle florissante, démontrant ainsi le potentiel d’une harmonisation stratégique entre le financement du commerce, le développement des infrastructures et l’approvisionnement énergétique.
Un cadre pour le développement continental
À la fin du panel, un principe s’est clairement dégagé : l’Afrique doit développer ses propres capacités financières. Comme l’a observé M. Aliyu Ahmed, ancien secrétaire permanent du ministère nigérian des Finances, « les faits démontrent systématiquement que lorsque d’autres banques se retirent, Afreximbank progresse. » De l’intervention en cas de crise à la stratégie industrielle à long terme, la Banque a démontré à maintes reprises ce qui devient possible lorsque les capitaux et les dirigeants africains dirigent leur propre programme de développement.
Après trois décennies, l’expérience Afreximbank apporte une réponse concrète à une question fondamentale : quels sont les éléments nécessaires pour bâtir des institutions à la fois durables et transformatrices ? La réponse ne semble pas résider uniquement dans la structure organisationnelle ou les cadres politiques, mais dans le courage institutionnel, l’innovation stratégique et l’alignement des objectifs sur la pratique.
Alors que le continent est confronté à de nouveaux défis et opportunités, le parcours d’Afreximbank offre plus qu’une simple analyse historique. Il propose également un cadre opérationnel pour le développement institutionnel africain.
Finance
FAFAMEC AFRICA , l’ambition chinoise qui souhaite équiper l’Afrique de l’Ouest dans son élan de développement

Basée à Cotonou, cette entreprise bouscule les codes en proposant des équipements neufs et reconditionnés, adaptés aux réalités du terrain. Rencontre avec un dirigeant qui voit le continent non pas comme un marché à conquérir, mais comme le partenaire d’une croissance partagée.
Dans l’air lourd et humide de Cotonou, hub vital de l’Afrique de l’Ouest, une promesse d’avenir germe pour les entreprises africaines. Elle a la robustesse d’un tracteur destiné à un agriculteur de la vallée de l’Ouémé, prêt à faire le saut d’une culture de subsistance à une exploitation rentable. Elle a la portée d’un camion qui, entre les mains d’un jeune entrepreneur, ouvrira les routes du Sahel pour relier Bamako, Bobo-Dioulasso ou Zinder aux marchés côtiers.
C’est précisément sur cette promesse que s’est bâtie Fafamec Africa. Dirigée depuis la capitale béninoise par le discret mais déterminé M. DENG YI, cette entreprise chinoise s’est donné une mission qui dépasse la simple logique commerciale : devenir un partenaire stratégique et durable du développement africain. Loin des clichés sur les relations sino-africaines, Fafamec Africa propose un modèle pragmatique, ancré dans les réalités et les besoins du continent.
Un partenaire, pas juste un vendeur
Lorsque nous rencontrons M. DENG YI dans ses bureaux de Cotonou, son discours est clair et sa vision, limpide. Il ne parle pas en millions de dollars de chiffre d’affaires, mais en hectares cultivés, en kilomètres de routes construites, en tonnes de marchandises transportées. « L’Afrique est en plein développement », affirme-t-il avec une conviction tranquille. « Partout sur le continent, des entreprises se créent, que ce soit dans le domaine agricole, la construction, ou le transport. Notre entreprise se veut un partenaire fiable pour accompagner cela. Nous ne sommes pas ici pour vendre des machines, nous sommes ici pour fournir des outils de travail. »
Cette philosophie du partenariat est le cœur du réacteur Fafamec. Pour M. DENG, le succès de son entreprise est intrinsèquement lié à celui de ses clients. Une vision qui explique le choix de Cotonou comme quartier général : une porte d’entrée non seulement sur le Bénin, mais sur tout l’hinterland. « Que ce soit le Bénin, la Guinée, le Niger, le Burkina, le Mali, le Tchad, ou partout ailleurs, nous sommes prêts à être aux côtés de ceux qui construisent l’Afrique », martèle-t-il. Cette projection vers les pays de la bande sahélienne, souvent confrontés à d’immenses défis logistiques, est au centre de sa stratégie.

DENG YI, PDG du Groupe FAFAMEC
La double offre : le neuf et le reconditionné, la clé du marché
L’intelligence du modèle de Fafamec Africa réside dans sa flexibilité et sa compréhension fine des différents segments du marché africain. L’entreprise a développé une double offre innovante qui répond à la fois aux besoins des grandes structures et à ceux des PME ou des entrepreneurs individuels.
D’un côté, Fafamec Africa propose une gamme complète de machines et d’équipements neufs. Des tracteurs flambant neufs pour les grandes coopératives agricoles, des compacteurs de dernière génération pour les chantiers d’infrastructures publiques, ou encore des équipements complets pour les stations-service qui maillent les nouvelles routes du continent. Ces produits s’adressent à une clientèle qui a besoin des garanties et des performances du neuf.
Mais la véritable révolution se trouve dans sa seconde offre : le matériel roulant reconditionné. Fafamec Africa a compris une réalité fondamentale : pour un jeune transporteur qui se lance, l’achat d’un camion neuf est souvent un investissement hors de portée, synonyme de dettes paralysantes. L’alternative ? Un marché de l’occasion souvent opaque et peu fiable. Fafamec se positionne sur ce créneau avec des camions et autres engins de chantier entièrement révisés, certifiés et, surtout, vendus à « moindre coût ».
« Reconditionné ne veut pas dire vieux ou défaillant », insiste M. DENG YI. « Cela signifie que nous sélectionnons des véhicules robustes, nous les démontons, nous remplaçons les pièces d’usure, nous les testons dans des conditions extrêmes et nous les proposons avec une garantie. Ils sont adaptés au contexte africain : plus simples à réparer, avec des pièces de rechange disponibles, et capables de résister à des routes parfois difficiles. » C’est cette approche qui permet à un artisan de s’offrir son premier camion-benne ou à une PME du BTP d’acquérir le compacteur qui lui manquait pour remporter un appel d’offres.
Équiper les moteurs concrets de la croissance
En parcourant la brochure de Fafamec Africa, on ne voit pas qu’une liste de produits, mais un catalogue de solutions. Chaque machine correspond à un besoin vital pour l’économie locale.
Les tracteurs et le matériel agricole sont au premier plan. À l’heure où la souveraineté alimentaire est un enjeu majeur, la mécanisation de l’agriculture est une urgence. En rendant les tracteurs accessibles, Fafamec participe directement à l’augmentation des rendements et à la transformation du secteur agricole.
Les camions, qu’ils soient neufs ou reconditionnés, sont les vaisseaux sanguins de l’économie. Ils assurent le lien vital entre le port et les capitales enclavées, transportant les biens de consommation, les matériaux de construction et les produits agricoles. Chaque camion vendu est une artère économique qui se renforce.
Les engins de BTP (compacteurs, niveleuses…) sont, eux, les bâtisseurs de l’avenir. Ils sont sur les fronts de la construction des routes, des ponts, des écoles et des hôpitaux qui sont la matérialisation physique du développement.
Enfin, des équipements plus modestes comme les tricycles motorisés témoignent d’une attention portée à l’économie populaire. Dans les villes comme Cotonou, Lomé ou Niamey, ces engins sont des outils de travail essentiels pour des milliers de « taxi-motos » ou pour la livraison du dernier kilomètre. Ils sont le symbole d’un micro-entrepreneuriat dynamique qui fait vivre des familles entières.
En proposant des solutions adaptées à chaque échelle, des projets d’infrastructures nationaux aux micro-entreprises urbaines, Fafamec Africa tisse sa toile en devenant un fournisseur incontournable à tous les étages de la pyramide économique.
Le défi pour l’entreprise sera de maintenir ce cap : continuer à allier prix compétitifs et fiabilité, tout en développant un service après-vente et un réseau de distribution de pièces détachées qui soit à la hauteur de ses ambitions panafricaines.
L’histoire de Fafamec Africa, c’est peut-être celle d’une nouvelle forme de partenariat sino-africain. Moins axée sur les grands contrats d’État et les matières premières, et davantage sur l’équipement de la base productive du continent. En sortant du port de Cotonou, la vision de M. DENG YI prend tout son sens. Chaque camion Fafamec qui s’élance sur la route du Nord n’emporte pas seulement des marchandises, il emporte avec lui une part de l’ambition de tout un continent.
Pour en savoir plus sur la gamme d’équipements, consultez leur brochure :
Découvrez les machines en action dans cette vidéo : [LIEN VERS LA VIDÉO YOUTUBE ICI]
Site web : www.fafamecafrica.com
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