De 2011 à 2013, les subventions accordées aux partis politiques n’ont pas respecté les critères d’éligibilité imposés par l’Ordonnance citée plus haut. « Les investigations diligentées ont révélé que la Direction Générale des Affaires Politiques et Juridiques (DGA/PJ) du ministère de l’intérieur a accordé la subvention sur la base de trois critères, à savoir : la tenue de congrès statutaire, la représentation locale et/ou la représentation à l’Assemblée Nationale », révèle Abdourahamane Gousmane dans une étude réalisée en 2017 sur le contrôle des comptes de campagne électorale.
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